Bientôt des panneaux solaires en orbite pour fournir de l'énergie à la Terre ?
Fournir de l'énergie à notre planète est un défi pour l'avenir et une équipe de scientifiques américains vient peut-être de trouver une solution à la fois respectueuse de l'environnement et peu couteuse. Le projet est simple, placer des panneaux photovoltaïques sur des satellites en orbite. Cet ambitieux projet est porté par la Space Solar Power Initiative (SSPI), un partenariat entre Caltech (l'Institut de technologie de Californie) et Northrop Grumman (un groupe oeuvrant dans le spatial et la défense).
Une structure spatiale géante
Le projet vise à mettre en place "la plus grande structure spatiale jamais construite", comme l'affirme Harry Atwater, professeur à Caltech et membre de la SSPI. Au programme, on parle de 2 500 satellites mis en orbite équipé chacun de 900 panneaux solaires. Une telle structure permettrait d'envoyer de l'énergie solaire vers la terre. Afin de simplifier le lancement de ces satellites ainsi équipés, il faudrait mettre en place un système de tuiles assemblées formant un tapis qui peut se plier pour un encombrement minimum au décollage. Une fois en orbite, le tapis peut se dérouler afin d'afficher une surface photovoltaïque d'une superficie représentant les deux tiers d'un terrain de football. Les tuiles imaginées pour le projet mesurent 10 x 10 cm et affichent un poids très léger de seulement 0,8 grammes. Les 2500 satellites permettraient au final de couvrir une surface équivalent à 9 kilomètres carrés.
Des coûts peu élevés
Si le développement d'un tel projet est très couteux, la réception de l'énergie en provenance des satellites ne nécessiterait pas d'infrastructures très onéreuses sur Terre. En effet, dans l'absolu, seules des antennes et des stations de réception seraient nécessaires. Une bonne nouvelle pour les pays en voie de développement et les régions les plus pauvres qui pourraient bénéficier "facilement" de cette énergie. Si ce projet est donc prometteur, il n'est pour l'instant qu'une idée qui a besoin d'être approfondie et surtout financée pour voir le jour d'ici quelques années.
Et ceci est sans compter sur le syndrome de Kessler qui a tendance a apparaître aujourd'hui et qui rendra tous lancement orbital et spatial impossible dans une dizaine d'années.
Ensuite, si ce problème politique est évité *tousse*, j'ai un doute des rendements. Qu'on produise d'abord des cellules photovoltaïques plus performantes et moins cher avant de pondre un projet trop ambitieux...
pour tenir compte de la divergence du faisceau microonde (même bien concentré, depuis 36000 km, on finit par diverger
mais aussi pour conserver une densité d'énergie qui ne soit pas dangereuse pour la vie (selon les critères de 1970 et c'est là que ça coince.
Les "rectantennes" devaient être montées en hauteur afin de pouvoir planter des tomates ou des moutons en dessous (ou autre chose, hein…) ; ou alors des bagnoles.
Coté littérature,
1) une nouvelle d'Asimov se passe dans un satellite de ce genre, avec 2 humains (pour les dialogues) et un robot. Et quand le robot pige qu'au moindre écart de faisceau il y aura des morts sur terre, il fout tout le monde dehors et s'enferme à clef. Les humains ne sont pas assez fiables…
2) sinon, Mono Stéréo (enfin, Yoko Tsuno) nous fait une démo de techno Vinéenne (crée par Leloup) : des concentrateurs solaires envoient la lumière dans des fagots de fibre optique (toujours beaucoup de ficelles chez Leloup…), avec une lentille devant pour tout concentrer sur un coin tapissé de fibre optique ; d'un autre coté, il ne semble pas y avoir beaucoup de piafs sur Vinéa. Ceci expliquerait-il cela ?
ah si seulement ce connard qui a refusé ce projet de Tesla ^^''
Effectivement, la technologie renouvelable et principalement solaire a d'énormes limitations technologiques. Par exemple, les défaut physiques (genre fissures) et chimiques (un atome mal placé) tu la cellule solaire. Un panneau industriel à un rendement de 2-5% (ceux qui sont sur les toits). Seul la NASA et equivalents on la thune pour se payer des panneaux multi-jonctions sans défauts avec rendement de presque 50%.
Après le problème, c'est qu'on se fixe sur le Silicium qui est une m*** à purifier alors qu'il existe d'autres matériaux prometteurs mais que personne n'étudie vraiment; Parce que qui possède la technologie? Total et compagnies. Ils font genre qu'ils développent, mais au fond il gardent les brevets pour ralentir le développement pour qu'on continue à leur acheter du pétrole