Ce streamer reçoit ce qu'il mérite après des propos racistes en direct
Internet est un lieu vaste et obscur. Le streaming continue de s'y installer paisiblement, notamment grâce à des grosses plateformes comme Twitch, YouTube et même Facebook. Les créateurs y partagent les aventures dans différents jeux vidéo, mais également dans la vraie vie. Il arrive parfois que des incidents surviennent alors en direct, à l'instar de ce streamer qui va recevoir ce qu'il mérite après des propos racistes.
des propos racistes finalement punis
Sur des plateformes réglementées comme Twitch ou YouTube, les streamers doivent respecter leurs conditions d'utilisation sous peine de sanctions. Avertissements, suspensions temporaires, voire définitives, des sanctions qui permettent de cantonner les vidéastes à un contenu plus ou moins sain. Mais pour partager au mieux leurs déboires personnels, certains vidéastes quittent les rangs des grosses plateformes pour se mettre à leur compte. Un contenu propre et sans régulation donc, sans pour autant profiter de la visibilité apportée par une grosse plateforme.
C'est le cas de Jackool et Moon, deux streamers qui partagent leur quotidien 24h/24, 7 jours sur 7, sur leur site. Un appartement équipé de plusieurs caméras diffusent ainsi leurs aventures casanières jour et nuit, quand une caméra à la main est nécessaire pour les excursions extérieures. Mais récemment, à l'occasion d'un stream réalisé en extérieur, Jackool s'est mis à dos les internautes. Et pour cause, il peut y être vu en train de tenir des propos racistes en live, utilisant plusieurs fois le mot "nigger" ("nègre" en français) lors d'une discussion forcée avec un inconnu dans la rue.
Pour une raison inconnue, le streamer va se diriger vers un homme assis sur le trottoir, fumant tranquillement sa cigarette. Jackool l'approche avant de lui demander "ce qu'il pense des 'nigras', un terme raciste utilisé pour désigner les femmes noires, notamment par la partie sud des Etats-Unis durant les années 60. Un terme qui semble perdurer malgré les décennies passées. L'homme lui dit de s'en aller avant d'être plus direct en lui demandant s'il souhaitait voir "cette caméra fourrée dans son anus". Le streamer va alors continuer à chercher l'altercation, avant de recevoir ce qu'il mérite : à savoir un spray de bombe au poivre dans les yeux. Avant l'incident, le streamer pouvait également être aperçu en train de cracher des termes racistes à l'intérieur d'une boutique.
Pour "recevoir ce qu'on mérite", un juge doit traiter l'affaire.
Sinon, "recevoir ce qu'on mérite" devient subjectif : selon le terroriste, les victimes reçoivent ce qu'ils méritent.
Cette personne aurait dû recevoir sa punition de la part d'un juge.
Dans un contexte plus violent si un mec se présente avec un couteau je vais certainement pas me laisser planter sous prétexte qu'il y pas de juge à côté de moi (juge qui préfèrerait le qualifier après ça de victime)
J'ai dit que le terme "reçoit ce qu'il mérite" n'est pas approprié.
Il serait temps de reboot ton instinct de survie.
Hitek journaliste? PTDRRRRR
Oui, parce que les noirs l'utilisent entre eux.
Mettre en balance la violence physique, et la violence verbale n'a pas de sens. Ce mec est très violent dans son approche, ses propos et sa façon de continuer à persécuter ce gars. L'autre le prévient, lui demande de le laisser tranquille, de ne pas le filmer contre son gré, et malgré ça il continue encore et encore. Il ne fait que se défendre fasse à une agression. Ca sert à ça une bombe au poivre. Ca vous aurez moins choqué "qu'il ait ce qu'il mérite" si à la place de ce type c'était une fille qui se faisait harceler et qu'elle utilisait une bombe au poivre pour faire fuir son agresseur.
Ce débile aura les yeux qui piquent 10 minutes, va pleurer un bon coup, et finira par refaire le même genre de connerie dès le lendemain, parce qu'à force de vivre une vie virtuelle, il est déconnecté de la réalité et des valeurs basiques de la vie en société.
Tout ce qu'il l'intéresse c'est de faire son show, mais tout le monde n'a pas à accepter de se prêter à ses caprices à son bon vouloir.