Albion Online : la guilde Hitek se prépare et s'équipe pour la fin du périple

Mi-août, la guilde Hitek rencontrait ses premières galères, consignées dans cet article. Lancez un groupe d'amateurs dans la jungle et bien évidemment, ils ne reviennent jamais, dépecés vivant ou morts de faim, vraisemblablement. Seulement, la guilde a apprise de ses erreurs et s'est reformée d'elle-même, plus aventureuse que jamais à arpenter les terres prometteuses d'Albion Online. 

#1. La remise en ordre

Bien évidemment, afin de ne pas sombrer dans l'oubli, une guilde se doit de mettre un peu d'organisation dans ses rangs. Premièrement, les îles. Véritablement point de départ de chacun, ces dernières sont un engrenage capital de tout bon fonctionnement dans Albion. Pour se faire, deux iles personnelles ont été réquisitionnées et mises à disposition de l'agriculture tandis que l'ile de Guilde servirait davantage à la fabrication des armes et armures, ainsi qu'à l'élevage de montures. 

Les rôles sont assignés, tout le monde est prêt à partir de son côté, ou presque. Pour pouvoir débuter tout ça, il a fallu augmenter le niveau des iles contre ressources et doublons sonnants et trébuchants. Pour l'argent, quelques monstres, quelques donjons seuls ou à plusieurs, et le tour est joué, les comptes sont renfloués. Tandis que certains allaient massacré du monstre, d'autres s'atterraient à la récolte de bois, de pierre, de métal, de peau et de fibres.

Notre camp de base, renouvelé, était relativement avantageux pour la pierre, le bois et le métal, moins pour le reste. Des expéditions ont donc été organisées, des montures prêtées, tout le monde a un rôle à jouer. Pour que le fonctionnement demeure le plus efficace possible, il a fallu utiliser les bâtiments publics durant un temps, notamment pour raffiner les ressources. Acheminées ensuite vers les îles, elles ont permis d'édifier ferme, forge, fonderie, taille-pierre et tannerie se sont retrouvés sur pied en deux temps trois mouvements. Seulement maintenant, il faut que tout le monde trouve monture à son pied. 

#2. Sillons et carottes

Les promenades à pieds sont relativement mais rafraîchissantes, encore faut-il ne pas être à l'autre bout du continent. Pour faciliter les différents voyages, l'heure fut à l'élevage. Avant de pouvoir se payer le luxe des boeufs, place aux chevaux. Pour se faire, il a fallu claquer une demi-paye et vendre les reins de deux de nos membres pour faire l'acquisition de poulains. Vous le savez, ces bestioles sont comme les bébés, ingrates, égoïstes et surtout, affamées. Avant de pouvoir réduire nos dépenses concernant l'élevage de ces bébêtes, il a fallu les engraisser, comme les canards landais. Pas trop quand même, le but étant de les voir courir, pas rouler. 

Une carotte toutes les deux heures seraient donc suffisante pour tenir à carreau leurs estomacs voraces. Malgré les apparences, la carotte se présente comme votre meilleur ami dans Albion. Les éleveurs se sont vus faire pousser carotte, manger carotte, travailler carotte, vivre carotte quoi. Pas d'overdose en soit, juste un peu plus d'amabilité. Une fois les sillons creusés, seul le temps marquait des pauses entre les récoltes. 

Vu nos besoins, des montures TII et TIII étaient suffisantes, pas besoin de monter plus haut. Sachant que les montures plus efficaces coûtent plus chères à élever, pas besoin de s'encombrer de dépenses inutiles. Plusieurs jours passent, l'île de guilde a été augmentée une nouvelle fois, maintenant, une nouvelle ferme trône aux côtés de notre pâturage. Le marchand est là pour nous approvisionner de nouvelles graines, l'évolution agricole se déroulent comme prévu. Les surplus sont vendus, les différents récolteurs ont dû s'équiper à l'hôtel de vente, faute de fabrication personnelle mais que voulez-vous, les imprévus des MMORPGs n'épargnent personne. Quoiqu'il en soit, il va être l'heure de passer à la dernière étape de la préparation, l'équipement.

#3. Jamais sans son glaive

Même si nos montures sont belles et bien adultes, difficile de monter dessus sans selles. Nos fessiers étant sensibles, nous retournons en ville, du cuir plein les sacoches, pour rendre utile nos rejetons équidés. Une fois nos bourses vidées, il a fallu attendre qu'une partie des ressources, précédemment collectée, soit raffinée. Bizarrement, les récolteurs sont plus rapides pour couper des arbres que pour faire des planches... Mais que voulez-vous, dans une petite guilde, tout le monde se doit de posséder plusieurs casquettes.

Certains ont des affinités avec la magie, d'autres avec les tirs à longue distance tandis que d'autres affectionnent la sueur de la mêlée. Mais une chose est sure, tous courent après l'argent. Plutôt basique n'est-ce pas. Néanmoins, cette motivation est suffisante pour permettre à tout ce petit monde d'avoir la volonté d'explorer cryptes et catacombes, à la recherche d'os et de butins.

Chaque membre vide ses poches (personnelles) et met une partie de son compte en banque à contribution. Même si tous les membres n'ont pas donné le même nombre d'heures dans la tâche commune, au moins auraient-ils tous contribué à l'effort de guerre. Trois groupes sont formés, les tanks d'un côté, les archers de l'autre, les mages ferment la marche. Dispersion et retour sur l'île lorsque les équipements sont créés.

Bien évidemment, même si ne possédez que le strict minimum, il est alléchant, économiquement parlant, de posséder quelques équipements en rab, histoire de sécuriser les galères approchantes. Car bizarrement, jamais rien ne se passe comme prévu.