Harry Potter : après les accusations contre J.K. Rowling, cette école prend une décision radicale
Accusée depuis de longs mois d'être transphobe, J.K. Rowling est en pleine tourmente. Aujourd'hui, on apprend la décision radicale d'une école concernant l'auteure britannique.
destruction d'une icône
Le récent documentaire Harry Potter : Retour à Poudlard, sorti en France le 1er janvier sur Salto, nous a rappelé combien l'oeuvre de J.K. Rowling était appréciée. On se souvient qu'en pleine Pottermania, l'autrice originaire d'Edimbourg était iconisée, présentée comme une femme courageuse et intelligente.
Cependant, depuis plusieurs mois maintenant, J.K. Rowling n'est plus en odeur de sainteté. Suite à des propos polémiques, l'écrivaine britannique est régulièrement accusée de transphobie, voire même, plus récemment, d'antisémitisme. Des accusations qui font beaucoup réagir sur les réseaux sociaux.
Alors que des acteurs de la saga cinématographique ont condamné les propos polémiques de l'écrivaine, des actions civiles ont été prises, afin de se désolidariser de J.K. Rowling. Ainsi, il y a quelques semaines, on vous informait que deux ligues de Quidditch avaient informé le public de leur intention de changer le nom du sport, entre autres à cause des propos jugés transphobes de l'auteure.
En Angleterre, la Boswells School à Chelmsford (dans l'Essex) a débaptisé l'un de ses six bâtiments, nommé en l'honneur de J.K. Rowling. Selon Stephen Mansell, le directeur de cette école qui accueille des enfants et des adolescents de 11 à 18 ans :
À l'automne 2021, nous avons revu et renommé l'un des bâtiments de l'école suite à de nombreuses demandes d'élèves et du personnel, ainsi qu'à un vote de l'ensemble de l'école.
Le directeur de la Boswells School rappelle par ailleurs l'ambition de l'école : "créer une communauté scolaire dynamique, inclusive et démocratique". Dans le bulletin de l'école, les raisons du changement de nom du bâtiment sont explicites :
À la suite de nombreuses demandes d'étudiants et de membres du personnel, nous réexaminons le nom de notre bâtiment rouge "Rowling" à la lumière des commentaires et des opinions de J.K. Rowling sur les personnes trans.
Alors que le film Les Animaux Fantastiques : Les Secrets de Dumbledore sortira en salles le 13 avril 2022, les réactions parfois radicales que suscitent les propos de J.K. Rowling pourrait bien entacher la promotion du long-métrage. On sent bien que la Warner ne sait pas trop comment gérer le cas Rowling. On rappelle que l'écrivaine n'avait pas été invitée à la célébration Harry Potter : Retour à Poudlard.
Mais pendant des années et des années, elle n'a eu de cesse de draguer ces personnes bien-pensantes sectaires en modifiant son oeuvre. Si elle a toujours dit que Dumbeldore était gay, le reste, elle n'a fait que le changer "ah mais j'ai jamais dit qu'Hermione était blanche, ah et Neville est bisexuel etc.". Elle n'a fait qu'insulter et dénigrer pour plaire à ces malades du cerveau et SJW twitter tout ceux qui pensaient pas comme elle, je me souviens qu'elle s'en prenait souvent à Trump d'ailleurs. Alors je suis pas un partisan de cet abruti, mais... pourquoi? c'est pas son président, c'est pas son pays... juste par effet de mode, elle le dénigrait, l'insultait lui et ceux qui lui trouvait une certaine sympathie. Et je ne parlerai même pas de ces propos féministes qui se résumaient à "les hommes, c'est tous des cons".
Honnêtement, j'aime bien ces histoires, que je connais que par les films, et j'irai voir sans problème les animaux 3, parce que je trouve qu'elle a du talent et qu'elle mérite ce succès. Je me fiche pas mal de ce qu'on lui reproche. Mais ce serait mentir, quand je vois ce genre de new, qu'elle ne fait pas que se prendre un beau retour de bâton, elle qui a longtemps agi comme ces siphonnés du boulot. D'ailleurs, si elle n'avait pas fait "machine arrière" sur ces propos soi-disant faux vis à vis des trans, elle serait toujours entrain de débiter ces conneries et modifier son oeuvre pour plaire à ces SJW.
C'est ça la société aujourd'hui ?
:'(
Karl Popper l'a décrit comme l'idée apparemment paradoxale que « pour maintenir une société tolérante, la société doit être intolérante à l'intolérance. »
Au point où en est la Warner avec la polémique sur le renvoi de Johnny Depp, ils sont plus à ça près