Johnny Depp : la réalisatrice de son dernier film aurait agressé ce célèbre journaliste français
Récemment, Johnny Depp vient d'être réhabilité après sa victoire dans son procès qui l'opposait à son ex-femme Amber Heard. Mais son retour sur les écrans va d'abord se faire par le cinéma français. En effet, alors que Johnny Depp était boycotté par Hollywood, cette cinéaste française l'a contacté pour qu'il apparaisse dans son nouveau film. Une réalisatrice qui est en ce moment dans l'actualité pour cette horrible raison... On vous explique :
Le retour de Johnny Depp
Johnny Depp va donc faire son grand retour sur les écrans français. Il va en effet être à l'affiche de Jeanne du Barry, attendu le 16 mai prochain dans les cinémas français. Film historique, Jeanne du Barry va raconter le destin de Jeanne Vaubernier (Maïwenn), une fille du peuple avide de s'élever socialement. Cette dernière, grâce à son amant le comte Du Barry, parvient à rencontrer le Roi Louis XV (Johnny Depp). Une rencontre qui dépasse les attentes de la jeune femme, puisque les deux parties tombent éperdument amoureuses. Un amour impossible qui fait scandale : personne ne veut une fille des rues à la Cour.
Réalisé par Maïwenn (Polisse, Mon roi, ADN), Jeanne du Barry marque le grand retour de Johnny Depp, absent des écrans depuis Mimata en 2020. Le reste de la distribution se compose notamment de Benjamin Lavernhe, de Pierre Richard, de Noémie Lvovsky, d'India Hair ou encore de Melvil Poupaud. La bande-annonce de Jeanne du Barry a été dévoilée il y a quelques jours. Le long-métrage va également faire l'ouverture du prochain Festival de Cannes.
Une plainte inattendue
Mais ce beau comte de fée vient d'être entaché par une plainte inattendue. En effet, le journaliste Edwy Plenel, cofondateur de Mediapart, vient de déposer une plainte contre Maïwenn. Il accuse la comédienne et réalisatrice d'agression. En effet, le journaliste accuse la jeune femme de l'avoir attaqué dans un restaurant parisien fin février dernier. Edwy Plenel a alors déposé plainte fin mars rapporte Le Parisien :
La plainte pour violences, n’ayant pas entraîné d’incapacité de travail, a été transmise à l’officier du ministère public, juridiction compétente pour traiter les contraventions
Dans cette plainte déposée le 7 mars, le président de Mediapart explique que le 22 février dernier, alors qu'il dînait avec un avocat dans un restaurant du XIIe arrondissement :
une femme, précédemment assise, seule, à une autre table a surgi et dans un laps de temps très court a saisi ce dernier par les cheveux avec violence, lui renversant la tête en arrière et esquissant un crachat sur son visage.
La femme a ensuite été identifiée par Edwy Plenel comme étant Maïwenn Le Besco, qui vient de réaliser Jeanne du Barry. La femme est alors :
sortie précipitamment du restaurant sans que personne n’ait pu intervenir vu la rapidité de l’action.
Aucune revendication n'a été avancée par la réalisatrice lors de cette agression. Edwy Plenel se dit « très traumatisé par la haine » manifestée par cet acte odieux. Si l'action est sans conséquence physique, Edwy Plenel avance dans sa plainte une atteinte « sur le plan moral et psychique ». Pierre-Emmanuel Blard, l'avocat d'Edwy Plenel avance que :
L’acte est unique mais n’en est pas moins violent, et d’une certaine manière traumatisant même en l’absence de dégât physique. Même pour ce genre d’acte, il ne peut y avoir d’impunité.
Contactée par Le Parisien, Julia Minkowski, l'avocate de Maïwenn n'a pas souhaité réagir. Selon Edwy Plenel cette agression serait une conséquence de certains articles publiés par Mediapart. En effet, le média a récemment mis en avant des soupçons de viol visant Luc Besson, l'ancien compagnon de Maïwenn. Luc Besson a en effet été accusé de viol par la comédienne Sand Van Roy, mais a bénéficié d'un nom lieu au printemps 2022. En tout cas, cette affaire autour de Maïwenn risque d'entacher la sortie de Jeanne du Barry, et peut-être même, sa diffusion au Festival de Cannes.
Tu comprends, ça fait tout de suite plus de clic.
L'affaire du faux homard avec le mec qui en mangeait pas et qui ne buvait pas d'alcool, c'était abusé par exemple, car au final, c'était de la représentation, représentation normale et qui se fait ainsi depuis des siècles... Y'avait aucune affaire. Se justifiant de son petit air narquois d'anarchiste que si c'est de la fake news il faut lui faire un procès, sauf que la seule chose que les gens retiennent, ce sont ses titres qu'ils soient vrais ou faux...
Le fisc aurait dû faire fermer ce journal quand ils ont fait un crowfunding pour faire payer leurs amendes...