Super Mario ou Zelda à l’abordage du 7ème art ?
Depuis quelques années les jeux vidéo s’immiscent avec insistance dans le 7ème art. Et les Japonais de Nintendo, détenteurs de célèbres licences comme Super Mario ou Zelda semblent vouloir profiter de cette popularité pour s’exporter dans les salles obscures.
Ces derniers temps, cinéma et jeux vidéo ont semblé former un joli couple, malgré un bilan nuancé. On retient notamment Pixel qui tentait, avec plus ou moins d’adresse, d’importer la culture geek sur grand écran. Depuis, de nombreuses franchises ouvrent la voie à un mariage certain entre le 7ème art et le gaming. Warcraft, Prince of Persia, Assassin’s Creed tant de grandes licences populaires qui cherchent à étendre leur univers. Dernièrement, le très bon Angry Birds s’offrait aussi un premier opus au cinéma. Majoritairement encensé par la critique, le film d’animation semble avoir inspiré Tatsumi Kimishima, PDG de la plus prestigieuse firme japonaise de jeux vidéo.
Un projet "casse-gueule"
Rappelez-vous : en 1993, Super Mario Bros débarque au cinéma et se vautre lamentablement. Face à cet échec cuisant, les scénaristes Nintendo rangent définitivement les dossiers "cinéma" bien au chaud, enterrant dans le même ordre les autres idées qui visaient à lancer sur grand écran d’autres personnages. Du côté des séries, le bilan n’est pas non plus au beau fixe. Les diverses adaptations du plombier moustachu ou même de Zelda se heurtent à des retours contrastés. De quoi calmer les projets japonais…
Pourtant, récemment, Kimishima semble rouvrir la porte à différents projets jusqu’à affirmer qu’une première adaptation est envisagée et qu’il s’agit d’un "personnage bien connu de tous". Métroïd ? Mario ? Link ? Aucune information n’a pour l’instant fuitée, même si le directeur général se veut optimiste en espérant une première sortie d’ici cinq ans.
Le projet est ambitieux, mais périlleux : il peut, d’une première part, insuffler un vent nouveau pour certains personnages et ainsi s’ouvrir à de nouveaux horizons. Dans un second temps, l’audace n’est pas démunie de tout risque puisqu’un nouvel échec pourrait porter un coup de massue sur la popularité de certains personnages. En 1993, lors du premier film Super Mario Bros, Nintendo était au sommet de son art, peut-on en dire autant aujourd’hui ? Le récent exemple tumultueux de Rachet & Clank a pourtant de quoi refroidir les ardeurs de Kimishima…
La box thématique de retour
Pour les fans de Zelda, notre box thématique fait son grand retour. Au programme, un t-shirt qui brille dans le noir, une magnifique lampe TriForce et plein d'autres objets à l'effigie de Link. Le prix : 44,99 euros
"personnage "
"Métroïd ?"
Métroïd ?
"METROID?" !!!!!!!!
On met du pognon sur la table, on reste fidèle à l'idée originelle, on s'autorise quelques libertés pour donner un peu nouveau, et on surveille le taff ! Il y a largement de quoi faire avec les licences Nintendo, que cela soit en animé, ou en live action.
Vous êtes sérieux là ?
Vous dîtes "semble", et à la fin "aucune information n'a été fuitée" donc au final vous tirez ça de votre chapeau ? Parce que perso j'ai lu cet article que sur votre site, à croire que vous faîtes des articles pour faire des articles.
Pourquoi ne pas partir sur un film d'animation plutôt ?
Un bon film d'animation Zelda murement réffléchi et intégré dans leur timeline ou bien un remake de leur plus grand succes ocarina of time?
'autre problème, c'est le public a saisir. seule une partie des geeks sera attirée au debut. J'ai peur qu'ils se cassent la gueule une 2eme fois peu importe leur choix de faire.