Elle fait de la prison pour s'être auto-trollée
Une anglaise vient de devenir la première personne à être condamnée à une peine de prison pour s'être trollé elle-même sur Facebook. Une histoire franchement étonnante où l'on peut voir le rôle des réseaux sociaux dans des règlements de comptes familiaux.
Michelle Chapman est une jeune britannique de 24 ans qui s'est servi des réseaux sociaux pour se venger de son père. Suite à une importante dispute et de nombreux désaccords avec son père et sa belle-mère il y a un an, la jeune femme a décidé de se venger de ces derniers grâce au célèbre réseau social Facebook. En effet, Chapman n'avait pas revu son père, Roy Jackson, depuis 21 ans, et ce dernier a voulu reprendre contact avec elle suite à son mariage avec Louise Steen en 2010, mais les retrouvailles ne se sont pas très bien passées.
Pour sa vendetta, Chapman a créé des comptes pour son père, sa belle-mère et quelques autres membres de sa famille, et s'en est ensuite servi pour publier des statuts nuisant à leur réputation. Le plus étonnant est qu'elle a également publié des messages insultants et à caractère sexuel sur son propre profil Facebook depuis les faux comptes de ses parents. Cette vengeance a duré plus d'un an, période durant laquelle elle a également porté plainte à la police plusieurs fois pour les faits dont elle était en réalité l'auteur.
La police s'est donc intéressée à l'affaire, a interrogé les membres de la famille mis en cause, et se sont finalement rendu compte que les comptes avaient été créés au domicile de Michelle Chapman et que les messages postés également. Chapman a finalement été jugée à une peine de prison de 20 mois. Son avocat et son mari ont déclaré qu'elle souffrait d'importants problèmes mentaux, et qu'elle aurait plutôt dû être aidée pour cela.
Elle a été abandonné par son Pere pendant 21 ans
On ne sait pas quel traitement lui a fait subir sa mere pendant tout ce temps.
Cette situation familiale a générée une ou des pathologies mentales.
Dont le retour de son Pere (qui arrive comme une fleur sous prétexte qu il est heureux) dans sa vie est le déclencheur.
La mettre en tôle n est pas la solution, un traitement et un suivi serait judicieux.
et le pire ce sont les commentaires sur son état physique et mentale qui sont aussi digne que le comportement des ados qui ont poussé ds l eau un handicapé