Une exclusivité PS4 adorée bientôt disponible sur PC

Depuis maintenant quelques années, les exclusivités ont tendance à sauter au profit d'arrivées sur de nouveaux supports. Les exclusivités prisées de chez Sony sont également concernées par cette nouvelle tendance, à commencer par Detroit: Become Human ou encore Horizon Zero Dawn. Mais prochainement, ce sera au tour d'une autre exclusivité PlayStation de sortir sur PC.

après death stranding, place à days gone

A l'occasion d'une interview dans les colonnes de British GQ, Jim Ryan, l'homme à la tête de Sony Interactive Entertainment, a finalement révélé qu'une nouvelle exclusivité PlayStation débarquerait sous peu sur PC. Son nom : Days Gone. Une information confirmée par la suite par Bend Studio, studio de développement de Sony derrière ce jeu de survie. Un portage prévu pour le printemps prochain, soit une attente relativement courte. 

De plus, Days Gone ne sera pas le dernier à rejoindre les catalogues PC. Jim Ryan a évoqué "une liste", bien qu'aucun autre titre n'ait été mentionné. Cette opportunité va permettre à Sony de proposer ses exclusivités à un plus large éventail de joueurs. L'argument derrière ces exclusivités temporaires ? La hausse des coûts de développement. Pour rentabiliser les process, Sony compte bien envahir des plates-bandes déjà épousées par Microsoft. 

Les exclusivités totales semblent donc perdre en vitesse, même si les joueurs PC n'ont pas accès à toutes les beautés du catalogue PlayStation. Reste à savoir si les délais entre le lancement d'un jeu et son portage sur PC seront réduits par la suite. Avec plusieurs années d'intervalle, les possesseurs d'une console de Sony peuvent tout de même apprécier leur titre pendant un long moment avant qu'il ne soit accessible à tous, ou presque. Quoiqu'il en soit, sachez que Days Gone vous offre le contrôle de Deacon St John, un biker chasseur de primes qui doit survivre dans le nord-ouest apocalyptique des Etats-Unis envahi par des créatures semblables aux zombies, mais qui ne sont pas des zombies.