Le Seigneur des Anneaux : voilà le plus grand pouvoir de Gandalf
Le Seigneur des Anneaux, œuvre aussi fascinante que parfois mystérieuse, propose une galerie de personnages ô combien intéressants, à commencer par Gandalf, ou Olórin du temps où il foulait le Valinor. Ci-dessous, retour sur les incroyables capacités du personnage, qui ne sont pourtant pas nécessairement utilisées dans la trilogie, et ce, pour une très bonne raison.
Un être aux incroyables capacités
Pour rappel, au moment de la célèbre Guerre de l'Anneau, le magicien est d'ores et déjà âgé de plusieurs milliers d'années. Il appartient à la race des Maiar, à savoir des divinités au service des Valar, tout comme Sauron en son temps. Quand ces derniers envoient les Istari (mages) en Terre du Milieu, et ce, afin d'aider les peuples à défaire leur ennemi, Gandalf et ses comparses prennent alors l'apparence de vieillards, affublés de longues barbes et de bâtons. Point intéressant : quand il reçoit cette périlleuse mission, celui qui porte encore le nom d'Olórin s'estime trop faible, trop lâche pour tenir tête au puissant Seigneur des Ténèbres. Une raison qui, contre toute attente, conforte la Dame des Etoiles, Varda, dans son choix.
Bien entendu, les capacités du personnage sont bien moindres en tant que magicien. Sous sa forme d'origine, il peut en revanche prendre l'apparence de tout être ou chose qu'il désire, ou même demeurer invisible. Plus encore, il aurait été capable de contrôler les esprits de ceux qui l'entourent, mais également d'influer sur la faune et la flore. S'il ne peut recourir à ses anciennes capacités, Gandalf demeure un protagoniste d'une grande puissance, comme le prouve notamment son combat contre le Balrog. Cerise sur le gâteau : il possède Narya, parfois appelé "Anneau de Rubis", dont on doit la création aux elfes. Il s'agit du tout dernier anneau a être conçu. Le petit objet confère à son porteur le pouvoir du feu et pousse les êtres à s'élever devant la tyrannie ou le désespoir. Mais alors, ses anciens dons impressionnants n'ont-ils pas manqué à Gandalf dans son entreprise contre Sauron ?
la plus importante des vertus
Dans les ouvrages de Tolkien, on comprend que, lors de leur arrivée en Terre du Milieu, les Istari ont interdiction d'user de leurs capacités pour changer le cours des choses. En fin de compte, leur mission est de guider les enfants d'Iluvatar vers leur salut, mais ces derniers doivent prendre leurs destins en main. Gandalf ne peut donc user de ses aptitudes passées, d'autant qu'il ne se souvient pas en détails de son existence précédente. Une perspective déceptive ? Bien au contraire, puisque le plus grand pouvoir du Maiar n'est autre que la sagesse. En effet, le personnage a accepté les modalités de sa "quête", à l'inverse d'un certain Saroumane...
Désireux de s'élever au plus vite contre Sauron, l'antagoniste a ainsi commencé à interférer avec l'ordre naturel, usant de ses capacités sur les êtres et les choses. Il a alors été entraîné dans un cercle vicieux puisque, rappelons-le, les Maiar n'ont jamais été destinés à diriger. Ce sont des guides, des éclaireurs, mais en aucun cas des leaders. Cet écart a conduit le mage à sa perte, tandis que Gandalf a résisté tout du long à la tentation d'emprunter d'autres chemins. Son humilité - il refuse catégoriquement de toucher l'Anneau Unique -, sa curiosité et sa bienveillance à l'égard de la Terre du Milieu et des êtres qui la foulent concourent donc à sa sagesse, capacité lui ayant permis de remplir - à merveille - son rôle d'adjuvant...
Il est pas interdit d'utiliser ses pouvoirs !
Il les utilise pour aider et guider les être mais il a pas le droit de les utiliser pour détruire ou pour diriger comme Saroumane.
Pour les aigles c'est pas utiliser un quelconque pouvoir, c'est ça capacité à communiquer avec les animaux.