La Nasa enregistre un record avec un propulseur d'ions, une avancée qui pourrait mener les humains sur Mars !
Ce propulseur ionique est le propulseur X3, plus connu sous le nom de propulseur Hall. Cette nouvelle technologie est intéressante car elle peut théoriquement atteindre des vitesses plus élevées que la propulsion chimique traditionnelle.
C'est donc lors d'une série de tests réalisés au Glenn Research Center de la Nasa que les chercheurs ont pu atteindre une puissance de sortie record pour un propulseur Hall. Ils sont parvenus à atteindre 5,4 Newtons de poussée contre 3,3 Newtons précédemment. Un record qui ouvre de nouvelles voies de recherche notamment dans les voyages spatiaux.
Peu gourmand en carburant et bien plus puissant
En effet, l'avantage de ces propulseurs ioniques est qu'en plus d'une poussée élevée, ils ne nécessitent que peu de carburant et peuvent fonctionner beaucoup plus longtemps. Par conséquent, ils peuvent offrir des vitesses beaucoup plus élevées. Par exemple, un propulseur Hall est capable de lancer un engin jusqu'à 40 kilomètres par seconde quand un propulseur conventionnel n'atteint qu'une vitesse maximale de 5 kilomètres par seconde !
Cette nouvelle technologie chauffe à très haute température du gaz argon qui devient ce qu'on appelle du plasma qui est ensuite éjecté pour propulser le vaisseau spatial.
Objectif Mars
Outre des vitesses records, l'utilisation de fusées au plasma permet de réduire de 90% le volume de carburant nécessaire dans l'espace. Cela permettrait d'augmenter par dix le volume d'une cargaison avec la même masse de carburant. C'est pour ces raisons que les chercheurs de la Nasa analysent de près les fusées de transport au plasma pour envoyer des cargaisons depuis la Terre vers la planète Mars.
A l'heure actuelle, les scientifiques veulent développer ces fusées au plasma en utilisant un plus gros propulseur pour augmenter encore davantage les vitesses. C'est donc peut être grâce à un propulseur à ions révolutionnaire que les premiers Hommes auront la chance de se rendre sur la planète rouge !
il ne faut pas mettre les œufs dans le même casier !
Il ne reste plus qu'à trouver une meilleure technologie pour quitter l'atmosphère terrestre et le système solaire se colonisera rapidement.
Bon, pour ce qui est des autres étoiles ça s'annonce plus compliqué par contre...
Beaucoup d'auteurs de SF (Arthur C. Clarke, Stephen Baxter, Kim Stanley Robinson) mettent en avant une technologie "classique" pour quitter l'atmosphère terrestre et rejoindre un vaisseau équipé d'une autre technologie permettant de voyager plus rapidement dans l'espace.
On pourrait donc partir sur un vaisseau assemblé en orbite terrestre (comme l'ISS) que les astronautes rejoindraient avec un lanceur classique (et recyclable comme ceux de Space X)
J'avais écris un article de vulgarisation sur ce système de propulsion il y a un moment:
http://orionpx.fr/project/blog/…
Quand à quitter le plancher des vaches:
http://orionpx.fr/project/blog/…
L'humanité a déjà fait assez de dégâts comme ça
L'homme regarde les étoiles pendant que la Terre brûle.
Cette techno est déjà en service depuis quelques temps et Airbus vient de battre le record de mise à poste d'un satelitte à propultion plasmique (4 mois ) pour le sat de com eutelSat 172B. Le second fabricantfrancais de sat Thales Alenia Space s'apprete lui à envoyer sur l'orbite Geo le plus gros de tous les sats jamais réalisé (SES17) grace aux gains de masse fourni par la propultion électrique.
Attention ne nous trompons pas le gain en vitesse ne s'applique qu'on tres grande distance puisque un sat en orbite Geo ne mettait que 3 jours pour atteindre l'orbite Geo et qu'il met desormais 4 à 6 mois.
En fait le principe est simple on se sert de l'energie solaire fourni âr les panneaux solaires pour creer un champ electrique .Celui accelere des ions . Selon le principe P=mv , la force resultante est proportionnelle à la vitesse et donc a l'intensité du champ electrique. Pour une meme masse de carburant si la vitesse est plus elevée la force l'est aussi.
L'idee est donc d'avoir la force la plus forte avec une meme masse (on parle isp) c'est le rendement masse consommé /acceleration fourni.
La vitesse du vaisseau est v=gamma.temps. L'idee est de maintenir une acceleration pendant plus longtemps qu avec du chimique .
L"acceleration est d'autant plus forte que la masse est faible gamma=f/M
v=f/MxTemps
or comme f=P=mv la masse de carburant multiplié par sa vitesse.
Si on utilise tous la masse de la fusée on temps à atteindre la meme vitesse que les ions à l'acceleration du champs electrique.
Supposons que l'on crée en orbite un cyclotron qui fait atteindre a des particules des vitesses proches de la lumiere , on tendrai vers des vitesse proche de celle de la lumiere.
Le bemol c'est le temps qu'il faudrait pour atteindre cette vitesse car la masse mise en oeuvre des particules est encores plus faibles que des ions Xe ou Krypton qui sont couremment utilisés...
à ce sujet rien n'interdit de penser que la vitesse c est une vitesse limite, les tachyons dépassent cette limite, car le big-bang est une erreur, car notre Univers possède une topologie hypertoroidale, voir la théorie des quaternions d'HAMILTON.
Ils feraient mieux de les dépenser pour sauver la nôtre. juste un exemple les continent de plastiques dans les mers et océans représentent des milliards de tonnes qui sur d’énorme surface empêche la mer de produire de l’oxygéné. Je passe la déforestation la pollution l’effet de serre etc …
Le point de non-retour et bientôt là. Il reste deux ou trois génération avant le commencement de l’extinction de l’être humain 7,5 milliards (2016) 10 milliards en (2050) 20 milliards en (2100) celle des animaux a déjà commencé. La terre sera toujours là mais sans habitant.