Squeezie : lynchée, cette vieweuse du tribunal des Bannis répond de la meilleure des manières
Censé dénoncer les propos affligeants de certains vieweurs sur le chat des chaînes de streaming, Le Tribunal des bannis a pourtant conduit tout ce qu'on ne voulait pas voir : incitation à la violence, cyberharcèlement et cybersexisme. C'est ce qu'a vécu une vieweuse suite à son intervention sur la dernière vidéo YouTube de Squeezie. Elle a récemment décidé de répondre à tous ses détracteurs.
Squeezie en défense d'Audrey
Souvenez-vous, Squeezie reprenait un concept ultra populaire de Twitch : Le Tribunal des Bannis en vidéo, sur sa chaîne, en IRL, et en compagnie de Gotaga et Kameto, habillés en juge pour l'occasion dans un vrai tribunal. Le principe : juger 7 vieweurs bannis pour avoir proféré des insultes, faire de la publicité et la promotion d'une chaîne ou d'avoir spoiler massivement un contenu récemment sorti dans le chat de l'une des 3 chaînes des streameurs. Afin de rendre l'expérience vivante et participative, des vieweurs dit "vieweurs modèles", participaient à l'émission en tant que jurés et donnaient ainsi leurs avis, voire influençaient la décision finale.
C'est à cette occasion qu'est entré en scène Audrey. À plusieurs reprises, et motivée par les 3 vidéastes, la spectatrice a prononcé son avis sur les affaires en cours. Et si certains ont pu paraître crus, ses commentaires n'ont en tout cas pas manqué de précision, et ont même été salués. Néanmoins, la jeune femme a depuis été victime d'un lynchage public sur les réseaux et en particulier sur Twitter. Qualifié de "personne détestable" et ciblée par des commentaires haineux sur son physique, Audrey a été défendue dans la foulée par un Squeezie lassé de ce type de propos : "Ça y est une femme donne son avis (très pertinent) sur des comportements toxiques et tous les détraqués de ce réseau en font un bouc émissaire. La vidéo dénonce exactement ce que vous faites ici : insulter, basher, harceler, parce qu’on est anonyme. Remettez-vous en question."
La réponse d'audrey
Mais la jeune femme a également tenu à répondre à tous ses détracteurs et au cyberharcèlement dont elle est victime. Lors d’un live avec le streameur BotKZ, elle a tenu à éclaircir les choses :
J’ai eu des gens de la prod qui m’ont demandé si j’étais OK pour faire partie des gens qui prenaient la parole, raconte Audrey. Il faut savoir qu’il y a plein de gens qui ont répondu qu’ils n’étaient pas trop chauds, ce que je comprends aussi, c’est compliqué de prendre la parole comme ça dans une vidéo qui va faire des millions de vues.
Moi, personnellement, je n’ai absolument aucun problème. C’est-à-dire que quand je lisais des tweets, dès que c’était “casse les c*uilles” j’étais en mode : d’accord, oui, tu as le droit. Moi ce qui va me gêner, c’est dès que ça part sur le physique, quand ça part sur de l’incitation à la violence, quand ça part sur des insultes hardcore.
Ainsi, si elle n'a rien contre certaines insultes, en revanche, les commentaires haineux sur son physique et l'incitation au lynchage ou à la violence ne passent pas. Une situation qu'on peut qualifier de cybersexisme dont sont encore victimes trop de femmes dans l'écosystème du streaming, et qui rappellent notamment les cas des streameuses Ultia (au Z Event 2021 ou durant l'Eleven All Star) et Maghla.
2 personnes qui font la même chose et une autre personne qui n'a rien à voir
Le point commun oui influenceur mais enfin c'est pas la même influence...
Juste un commentaire pour dénoncer ... faire de l'argent - c'est ça le soucis !!!!
Et après ils nous disent NON on est pas jaloux !
Rassurez-vous comme vous le voulez - le problème c'est qu'ils gagnent plus d'argent que vous et ça c'est dur à accepter..
L'anonymat Garantie une liberté d'expression aussi bien politique idealiste il garantie une libre expression artistique et créatrice ce dernier permet une socialisation des moin sociable