Découvrez l'URSS d'après guerre dans cette série de magnifiques photos colorisées !
Après la Seconde Guerre Mondiale, l'URSS était occupée à se reconstruire. C'est à cette époque que débarque Martin Manhoff, un photographe américain. Il va alors parcourir la Russie de long en large en train, accompagné de sa femme Jane qui tient un journal de bord.
Martin Manhoff et sa femme Jane
En 1954, soit deux ans après son arrivée, Manhoff est expulsé de l'URSS considéré comme étant un espion américain. A son retour aux Etats-Unis, il garde caché son incroyable collection de photos dans un placard. Et ça ne sera que 60 ans plus tard, juste après sa mort, que son travail sera dévoilé au monde entier. En effet, l'historien Douglas Smith a retrouvé ces photographies couleur qui nous donnent de précieuses informations sur ce qu'était la vie quotidienne soviétique.
Un policier soviétique (photo prise probablement depuis le toit de l'ambassade américaine)
Parade dans le centre de Moscou (près de l'ambassade US)
Une enfant qui descend une rue de Moscou
Moscou by night
Une rare photo des funérailles de Staline en 1953 (photo prise depuis l'ambassade US)
Village russe sur le passage du train
Devanture d'un magasin de jouets à Moscou
Partie de cartes à Kuskovo
Scène de vie sur la place Pouchkine
Cinéma dans le centre de Moscou - Publicité pour le film Lights on the River de Viktor Eisymont
Central Telegraph à Moscou
Défilé à Moscou où les gens dansent et brandissent des drapeaux nord-coréens
Poissonnerie et boucherie à Moscou
Village aperçu au passage du train
Transport en commun sous les pluies d'été à Kiev
Une rue dans le centre de Kiev
Cercueil de Staline devant la Bibliothèque Lénine
Sur un marché en Crimée
Troc sur les rails
Et Staline est quand même le seul (avec Mao) à avoir à ce point réduit son propre peuple en esclavage pour ses grands travaux. Arrêter des gens par millions sous des prétextes bidons pour les faire bosser à l'œil plutôt que de payer des ouvriers, au fond c'est peut-être sa manière de faire le bonheur du prolétariat.
Décidément, comparés aux communistes, le medef c'est rien que des petits joueurs… D'ailleurs, comparé à Staline et Mao, même Hitler n'est qu'un pauvre minable.
PS : Insulter, c'est ta façon d'exister ?
Et la traite négrière tu connais ?
Je n'ai pas besoin de chercher loin pour trouver des contre-exemples. Les dictatures et les crimes contre l'humanité ne sont pas propre au "communisme" (si tenté qu'il y en ai un seul avec une seule définition). Je n'en connais pas assez sur Mao pour en parler mais je peux te dire que Staline et loin d'être un bon exemple quand il s'agit de parler de communisme en général. C'était surtout un cinglé avéré, et rien que ça rend difficile d'en parler. Si tu veux des bons exemples renseignes-toi sur Lenine, Trosky ou alors Castro (je te rassures, ils n'étaient pas nonplus propres)
Bref je ne sais pas où tu vas mais tu as l'air décidé à dire que le communisme c'est le mal incarné, et que c'est pire que la droite, même sous forme de dictature (ou alors j'ai mal compris), et je te répondrais que tu as l'air d'en connaitre peu sur le sujet.
En réalité de nombreux pays ont connu le communisme pendant des années dans que ça se tire en grosse dictature et sans tomber en ruine, comme n'importe quel autre. D'ailleurs il y a de nombreuses bases de communisme dans la France du CNR (nationalisation des services publics, couverture de santé, ...) et il en reste encore beaucoup.
PS: Je t'ai insulté une fois d'imbécile pour avoir répondu de manière condescendante et sans avoir réflechi, tu vas quand même pas me dire que ça t'a fait le moindre mal ...
Aurais-tu des exemples ?
J'ai l'impression qu'à chaque fois qu'un dictateur du prolétariat arrive au pouvoir, il perd sa « légitimité communiste». Sauf que j'ai bien l'impression que ça se termine toujours comme ça. Parce qu'en cas de désaccord entre la théorie et la réalité, il est toujours tentant de faire taire la réalité d'une balle dans la nuque…
Cela dit, nous sommes bien d'accord, les massacres ont toujours existé, et il y a eu des guerres d'extermination dès le néolithique.
Mais là, il s'agit de déportation de plusieurs dizaines de millier de personne. Mais je reconnais que ton exemple sur l'esclavage (et pas seulement la traite négrière, car l'esclavage est de toutes les époques et de tous les continents) entre tout à fait dans ce cadre.
Et c'est là qu'on a une déformation sémantique intéressante. Parce que si au début du XXe siècle, le communisme était une utopie ( parce qu'aucun pays ni état ne l'avais testé), la définition de l'utopie même à changé, passant d'une hypothèse non-testé à un modèle irréalisable.
Du coup, dire que le communisme est une utopie, c'est complexe, parce que le terme utopie est évolutif, et reste encore ojd assez flou. Du coup meh.
J'ai presque envie de crier au novlangue politique, et au fait que si on a abandonner le sens premier du terme utopie, c'est peut être plus du à une conformation de la langue par les dominants afin que le peuple ne s'engage plus dans des idéologies, que par glissement linguistique: Si on dit que toutes les idées nouvelles (ancienne définition de l'utopie) sont irréalisables (nouvelle définition de l'utopie), alors toute idée nouvelle sera considéré par le peuple comme irréalisable. On tue l'idée qui n'est même pas née, on avorte les idéologies, et le contrôle n'est plus répressif, mais insidieux. Enfin bref, lisez Nietzsche et George Orwell, c'est important.
Pour revenir au communisme, le système communiste n'a qu'un seul axe: économique. Ce qui fait que tu peux avoir une chiée de para-systèmes, étant tous différents, mais ayant une composante économique commune (commune, communisme, get it)
Par exemple, si tu veux mettre un despote (autocratisme) à la tête d'une dictature armée et répressive (autoritarisme), que tous les individus de la sociétés sont soumis à un culte étatique (fascisme) et que cette société redistribue l'argent via l'état, par un proccessus jugé équitable(communisme), ça fait du stalinisme.
Si tu veux une démocratie directe ayant une constitution protégeant l'intégralité des libertés individuelles(anarchisme), que l'argent est répartie de manière équitable, soit par autogestion, soit par décision démocratique (où ont mets des salaires non pas par rapport au court du marché, mais à l'importance du travail effectué pour la société) (communisme), et que ta société se fait à échelle réduite (un village, une petite ville. Quelques milliers d'habitants, tout au plus)(citéisme): On appelle ça du Proudhonisme (Certains apl ça l'anarcho-communisme zadiste, mais perso, je trouve ça pété comme nom).
Bref, je pense que tu vois que y'a une différence très nette entre le stalinisme et le proudhonisme, et que ce serait idiot de résumer toutes les sociétés communisme à leur doctrine économique.
Je conclurais sur: La question n'est pas de savoir si le communisme ne marche, ou ne marche pas, la question est de savoir qu'elle société on voudrait mettre en place pour permettre à une majorité d'individus d'être heureux dedans.
Enfin, avant de me sortir qu'aucune forme de communisme n'a été bénéfique pour le peuple, je te laisse te documenter sur la commune, où les femmes apprenaient à lire et avait le droit de vote, en 1871.
Des bisous. Et désolé pour le Pavé.
Exact. Cette différence est que Proudhon n'a jamais eu l'opportunité de mettre en place une police secrète (ou pas, d'ailleurs). c'est la capacité de violence qui fait le dictateur.
Aucun pouvoir ne peut se permettre de mal payer ses flics et ses percepteurs (même s'ils se plaignent…)
Pour ce qui est du "c'est la capacité de violence qui fait le dictateur.", je trouve la phrase très élégante et plutôt vraie. J'ajouterais cependant qqch.
Ce n'est pas la violence (action impliquant la souffrance) qui caractérise selon moi le dictat, mais son pouvoir.
Par exemple, imaginons un système orwellien où toute forme de pensée autre que celle imposée par l'état n'est pas possible (parce que l'accession au savoir n'est pas possible -comme c'est le cas en corée du nord- ou parce que les mots ne permettent pas de formuler l'idée- comme c'est le cas dans 1984-), mais où les individus sont intrinsèquement heureux (1984, le meilleur des mondes...) car ne voyant pas l'aliénation étatique qu'ils subissent (en effet, c'est en sachant qu'on est aliéné qu'on peut souffrir de cette aliénation et qu'on cherche alors à s'en libérer. Pas de connaissance, pas de souffrance. Pas de souffrance, pas de rebelles. Pas de rebelles, pas de rebelles.Lis Marx et Trotski si l'intellectualisation des masses t’intéressent.). Techniquement, le dictateur ne fait souffrir personne, il est par conséquent non-violent.
Par contre, il contrôle les gens, il impose une idée et un fonctionnement, généralement social, économique et culturel aux gens. Et c'est -toujours selon moi- cette composante du pouvoir qui caractérise la dictature, pas la violence.
Sinon, j'ai pas compris ton passage sur "Aucun pouvoir ne peut se permettre de mal payer ses flics et ses percepteurs"
Les écoles ? les hôpitaux ? la culture ? Du moment que la nomenclatura (dont les flics et les percepteurs) est servie, tout ça est secondaire…
La dificulté est d'éviter l'inflation en matière de corruption de ses propres forces armées, comme plus d'un empereur romain l'a vérifié à ses dépens.
La violence étatique, via le pouvoir monétaire.
Oui, c'est monnaie courante, le fait que la thunes sert directement les intérêts étatiques de domination, même dans des domaines moins "hardcore" que l'armée ou les "tortureurs fonctionnaires". Par exemple, sous les Khmers rouges, on donnait un peu de riz au gens qui "s'instruisaient", -> thunes= propagande gratuite;
Après, je suis une sale raclure de communiste, donc je considère que le monde capitaliste fonctionne de la même manière: On nous paye le minimum humain pour pouvoir nous exploiter et dans le même temps, on nous fait matrice du système aliénant qui nous brise. En gros, la violence sociale s'effectue en nous faisant acteur de cette violence, et en nous payant pour ça.
La bise.
Mais il y a des cas où le travail prend le pas sur le capital, et où l'expertise est reconnue à sa juste valeur. Je penses au cas d'un gars qui a expliqué aux "vulture capitalists" venus avec l'espoir de s'approprier sa start-up que, oui, ils pouvaient acheter des actions mais que, non, elles n'auraient pas de droit de vote. Parce que 1M$, n'importe quel riche clampin comme on les trouve par paquet de 10 peut les fournir, alors qu'un expert en modélisation nanométrique ou bien en neuromimétique, c'est plus dur à trouver et encore plus dur à garder.
Bon, ok, ok, on n'est pas dans la logique "sidérurgique" des "masses populaires" informes et anonymes (et contrôlables). Mais on est tout aussi loin du travailleur "corvéable à merci" et "payable à coups de pieds au cul". Le travailleur maître du jeu capitaliste, ça existe. Mais pas en France, l'ENA a fait ce qu'il fallait pour ça, en confisquant le capital pour le rendre rare.
Il est aussi con de parler d'égalités, que d'utopie, que de goulags (hum hum) parceque personne ne parle de la même chose
Tu peux bien dénoncer qui tu veux, les flics ont interdiction d'en tenir compte vu qu'il faut dégonfler les statistiques de la délinquance. Histoire qu'un quelconque ministre puisse bomber le torse sur "les bons chiffres".
On peut dénoncer son voisin, même anonymement, lol.
https://justice.ooreka.fr/ebibliotheque/…
Un peu comme le fisc qui, de temps en temps, décide de "cibler" une profession particulière : contrôle à tout va (et ils ont tout ton temps), puis ça s'arrête sans prévenir, quand ils ont "fait leur quota".
C'est décidé je me casse de france pour allez vivre en corée du nord , la russie d'aujourd'hui est devenu trop capitaliste .
C'était mieux avant , heureusement qu'il y a encore des pays qui ont fait de la résistance .