À quelques semaines de la sortie des Gardiens de la Galaxie Vol.3, James Gunn révèle quelques informations à propos du tournage du dernier film de la trilogie, et notamment sur cette technologie révolutionnaire qui a participé au succès de The Mandalorian, à laquelle il dit pourtant non.
La dernière sortie des GArdiens
À 2 semaines de la sortie des Gardiens de la Galaxie Vol.3, Marvel est dans la dernière ligne droite de sa campagne promotionnelle du 2e film de la nouvelle phase 5 du MCU (entamée avec l'échec d'Ant-Man 3). Hier, un récent spot TV est venu remettre sur le devant de la scène Adam Warlock, qu'on avait déjà pu voir dans une bande-annonce précédente. Plus tôt, c'était au tour de Stakar Ogord (Sylvester Stallone) d'être teasé par la Maison des Idées.
Inutile de redire que ce troisième et dernier opus de la trilogie entamée en 2014 est extrêmement attendu par la communauté Marvel. Il sera chargé de boucler l'épopée de la bande à Star Lord, puisqu'il s'agit de la toute dernière apparition des Gardiens à l'écran, du moins ensemble, et pour la grosse majorité d'entre eux.
"ça ne marche pas quand vous déplacez beaucoup la caméra sur le plateau"
Le talentueux réalisateur James Gunn -désormais aux manettes du DCU de la maison DC Comics- a su prendre l'un des comics les moins appréciés des fans pour le métamorphoser en une licence cinématographique ultra populaire et faire de ses super-héros des personnages ultra attachants.
Le réalisateur du très bon The Suicide Squad est très respecté, et a carte blanche pour orienter ses films et gérer ses personnages, et ce, notamment vis à vis des techniques d'effets spéciaux numériques. On a récemment pu apercevoir un échange avec un internaute sur Twitter, dans lequel Gunn donne son avis sur la technologie du Volume, plateau immersif nouvelle génération, à base de mur de LED, notamment utilisé par Disney pour ses productions éstampillées Star Wars.
Une technologie qu'il ne dit pas utiliser, ceci en raison d'un problème majeur : "Personnellement, je ne peux pas l'utiliser dans mes films, parce que ça ne marche pas quand vous déplacez beaucoup la caméra sur le plateau. Par ailleurs, on ne peut pas avoir des décors trop grands non plus..."
Intronisé pour la première fois par Disney pour la première saison de The Mandalorian, The Volume est le premier espace cloisonné recouvert de LED du sol au plafond sur lequel on projette le décor à 360°. Beaucoup plus flexible que les fonds verts, l’environnement change en effet en fonction de l’angle de la caméra et de l’heure souhaitée. Un dernier point qui a visiblement rebuté Gunn.
Fonds verts, maquillages, constructions
Ainsi, il a construit son film à l'ancienne, à l'aide des gros fonds verts, tout comme les deux précédents opus de sa trilogie. Pour le tout premier, 13 sociétés différentes s'étaient relayées pour travailler les effets visuels.
Un réalisateur coutumier de techniques plus anciennes, voire adepte de la construction ou du maquillage, là où certains ne jureraient que par la motion capture (exception faite à Groot ou Rocket): "Nous avons donc construit le plus de décors possible. Nous avons par exemple fabriqué de toutes pièces des plateaux de tournage gigantesques pour les décors de la planète du dieu Ego." disait-il à propos des Gardiens de la Galaxie 2.
car tu as commandé une HITEKBOX. Tu peux donc ajouter des smileys et des images.
Par user 404, il y a 1 an :
étant donné que certains décors (spatiaux et stellaires) sont fabriqués par ordi de toute pièces, j'imagine que c'est moins adapté car ça permet notamment de projeter d'immenses paysages retravaillés ?
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