Cette mère assassine son bébé après avoir eu des hallucinations de Bob l'éponge

Malheureusement, certains faits divers se révèlent particulièrement horribles. On a notamment appris qu'une mère avait assassiné sa jeune enfant sous un prétexte particulièrement étrange. 

Une mère instable 

Dernièrement, les médias américains ont partagé un fait divers à la fois triste et sordide, qui remonte au mois de septembre dernier, mais dont on n'a eu vent que récemment. C'est le témoignage de Ryan Eberline, une enquêtrice des services de protection des enfants, qui a de nouveau ébruité l'affaire le 4 février dernier. Car récemment, celle-ci a pu rencontrer dans sa cellule Justine Johnson, une femme qui a assassiné sa jeune enfant de trois ans.

Justine Johnson n'avait pas la vie la plus simple ni la plus joyeuse au monde. Devenue mère à l'âge de 19 ans, elle résidait dans l'Etat du Michigan, aux Etats-Unis. Au mois de septembre dernier, loin d'être stable mentalement, la jeune femme tentait de se sevrer de son addiction à l'héroïne. Une situation qu'elle a mal vécu et l'ayant empêché de fermer l'œil pendant plusieurs semaines.

Une hallucination qui aura coûté une vie

Ce sont les raisons évoquées ci-dessus qui ont été avancées pour expliquer ce qui & poussé la jeune mère à commettre un crime horrible : assassiner sa petite fille âgée de trois ans, de plusieurs coups de couteau. Celle-ci a été retrouvée plusieurs jours plus tard à l'arrière de la maison. 

L'acte est évidemment déjà horrible en lui-même, mais la justification de la mère le rend encore pire tellement il semble irréel : selon elle, une hallucination lui aurait fait voir Bob l'éponge, le personnage de dessin animé apparu sur nos écrans à la fin des années 90, la pousser à commettre ce meurtre. Selon elle, celui-ci aurait menacé d'attenter à sa propre vie si elle ne s'en prenait pas à sa fille, ce qu'elle a donc décidé de faire, terrifiée.

Elle dit cependant ne rien se rappeler de précis à propos de cette journée, alors qu'elle aurait tenté de mettre fin à ses jours peu avant le drame. Aucune information concernant une potentielle prise en charge par un psychologue ou autre spécialiste n'a été communiquée par les forces de l'ordre.