Avatar : James Cameron prend cette grande décision contre Donald Trump
Les décisions de Donald Trump, récemment élu 47e Président des États-Unis, ont des conséquences directes sur le quotidien des citoyens américains. Et le petit monde de l'audiovisuel n'est pas épargné ! Tandis qu'Hunter Schafer, la star d'Euphoria, dévoilait les conséquences de son décret sur le genre sur sa vie, c'est désormais au tour du réalisateur James Cameron de prendre une décision drastique...
La Nouvelle Zélande, terre promise pour James Cameron
L'une des inspirations de James Cameron pour la création de Pandora dans Avatar, c'est la Nouvelle Zélande, déjà magnifiée par Peter Jackson dans son adaptation du Seigneur des Anneaux. Célébré pour sa beauté sauvage, ses paysages à couper le souffle et sa culture, ce pays situé à 2 000 kilomètres au sud-est de l'Australie a tapé dans l'oeil du réalisateur de Titanic. Et surtout, les presque 12 000 kilomètres qui le séparent des États-Unis en font une destination rêvée pour le cinéaste canadien, horrifié par la situation institutionnelle de son pays d'adoption. Dans un récent épisode de son podcast The F#$%ing News, il a confié être sur le point de vivre pour de bon sur cet archipel, loin des actualités peu réjouissantes du mandat de Donald Trump.
J’ai déjà rempli les conditions en termes de temps passé dans le pays. J’ai déposé ma demande. On me dit que c’est imminent.
James Cameron "terrifié" par les décisions de Donald Trump
Le réalisateur canadien prend ses cliques et ses claques en direction des montagnes et des plages de la Nouvelle Zélande, dans l'espoir de fuir (du moins, géographiquement) l'ambiance jugée délétère du mandat de Donald Trump. Ayant acheté un ranch près de Wellington ces dernières années, il a un point de chute tout désigné lorsqu'il aura reçu sa nationalité, et il ne compte pas rester un instant de plus aux États-Unis que ce qu'il est obligé.
Je trouve cela horrible, terrifiant. Je constate un abandon de tout ce qui est décent. L’Amérique ne représente plus rien si elle ne défend pas ce qu’elle a historiquement incarné. Elle devient une idée vide de sens, et je pense qu’ils sont en train de la vider aussi vite que possible à leur propre avantage. Nous sommes tous dans le même bateau, à l’échelle de la planète. Je ne sais pas si je me sens plus en sécurité ici, mais au moins, je ne suis pas obligé de voir ça en première page tous les jours. C’est écœurant. Ce qui est agréable avec les médias néo-zélandais, c’est qu’au moins, ils mettront ça en page trois. Je préfère lire une histoire sur un chat coincé dans un arbre et un pompier qui le sauve, ou sur une petite querelle politique locale. Je n’ai juste plus envie de voir ce type en une des journaux. Là-bas, c’est inévitable. C’est comme regarder un carambolage de voiture en boucle.
Et vous, que pensez-vous de cette décision pour le moins drastique ?