Beaucoup de médias parlent de "folie Pokémon Go" comme un frein, du moins un obstacle, à la rentrée scolaire. Peut-être est-ce l'une des raisons qui ont poussé Najat Vallaud-Belkacem à demander un entretien avec Niantic. Le but ? Demander la suppression des Pokémons rares dans les établissements.
Le risque d'attroupement
C'est le risque d'attroupement qui préoccupe le plus la ministre de l'Éducation Nationale. Il est vrai que cet été a été le théâtre d'invasions, dans des commissariats de police, dans des propriétés privées... Et sûrement des écoles à en croire madame la ministre. Le rendez-vous n'a été que sollicité avec le développeur du jeu. Il ne reste plus qu'à attendre la réponse de Niantic.
Le problème de la sécurité est aussi mis en avant. Après les attaques terroristes les "attroupement" que craint la ministre seraient un obstacle de plus à la garantie de la sécurité des élèves de tous âges. Quelques jours avant, elle avait indiqué aux directeurs des établissements, primaires, collèges, lycées, qu'ils pouvaient envoyer une demande à Niantic afin qu'ils ne soient plus des pokéstops.
Certaines écoles devenues arènes cet été
Il est vrai que le risque d'intrusion est réel. Certaines écoles sont devenues des arènes durant l'été, mais il y a rarement besoin de pénétrer dans ces dernières afin de pouvoir les capturer. En tout cas, l'application aura causé un peu plus de grabuge que prévu, même si cette décision n'a, pour l'instant, abouti à rien.
Maurice-Ravel et Gambetta, deux collèges parisiens, sont notamment dans ce cas ainsi que le lycée Janson-de-Sailly. Reste maintenant à savoir comment s'occuper de Pokémon Go vis-à-vis du règlement intérieur.
Par andrélebreton, il y a 7 ans :
ok.. lol comme si les enfants vont jouer toute la journée XD
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