Final Fantasy XIV : Square Enix bannit plus de 5000 joueurs pour activité illégale

L'un des meilleurs MMO du moment, c'est Final Fantasy XIV et par conséquent, il n'est pas étonnant que certains en profitent pour tenter de se faire de l'argent dans le jeu de Square Enix. En effet, il y a certains joueurs qui n'hésitent pas à proposer des services payants aux autres joueurs de façon totalement illégale. L'éditeur a donc décidé de sévir en excluant plus de 5000 joueurs qui s'adonnaient à cette activité.

Square Enix fait le grand ménage et bannit plus de 5000 joueurs

Effectivement, comme l'a indiqué le site PCGamesN au début du mois, Square Enix a décidé de faire le ménage dans la communauté en s'attaquant à ceux qui n'hésitaient pas à effectuer des transactions en argent réel et à en faire de la publicité dans le jeu. Ces derniers proposent ainsi, contre de l'argent, de vendre de meilleurs équipements à ceux qui décident de mettre la main à la poche. Pour enrayer le phénomène, Square Enix a préféré sévir pour éviter que l'expérience de jeu ne soit ruinée.

De ce fait, l'éditeur de FF XIV a donc banni purement et simplement très exactement 5851 joueurs qui ont "trempé" dans ce genre de commerce ou étant impliqués dans d'autres activités interdites entre le 25 février et le 3 mars dernier.

Dans le détail, l'éditeur précise que 5037 joueurs ont été bannis pour avoir participé directement à des transactions en argent réel et que 814 autres sont devenues persona non grata pour avoir fait de la promotion de ce genre d'activités.

Square Enix rappelle que le fait d'utiliser de l'argent réel pour effectuer des échanges ou pour toute autre activité est formellement interdit par les conditions du jeu que les joueurs sont censés accepter au moment de la création de leur compte.

Ce coup de filet de la part de Square Enix pour bannir les joueurs ne respectant pas les conditions d'utilisation du jeu n'est pas inédit. En 2019, l'éditeur avait déjà fait un grand ménage en excluant plus de 10 000 joueurs pour ce même genre d'activité.