11 moyens de torture qu'on ne souhaiterait même pas à nos pires ennemis !
Il y a quelques temps sur Hitek, nous vous présentions les 15 pires méthodes de torture jamais inventées dans l'histoire de l'Humanité. Si vous pensiez avoir tout vu, détrompez-vous ! Ce n'est rien comparé à ce qui suit ! Âmes sensibles, s'abstenir ... On vous aura prévenu ! Pour vous dire, ces techniques de torture vont faire passer Ramsay pour un petit joueur ...
L’ébouillantage
On commence par une torture très lente où la victime est plongée petit à petit, les pieds en premier, dans de l'huile, de l'eau ou de la cire portée à ébullition. Bien entendu, la douleur ne rendait pas les victimes inconscientes immédiatement mais la brûlure atroce des couches externes de la peau les faisait agoniser. On peut imaginer que ce genre de supplice était réservé pour les pires meurtriers, mais des documents historiques réfutent cette théorie.
En effet, l'empereur Néron aurait tué des milliers de chrétiens de cette façon. De même en Allemagne au Moyen-Âge où des forgerons ont été torturés de la sorte alors qu'en Grande-Bretagne, Henri VIII réservait cela aux empoisonneurs. Dernièrement, en 2002, cette pratique aurait été réalisée par le gouvernement de l'Ouzbékistan pour torturer plusieurs terroristes présumés.
Le supplice du chevalet
Voici une méthode utilisée pour obtenir des informations ou des aveux. Pour cela, la victime était attachée par les poignets et les chevilles à l'aide de liens fixés à chaque extrémité du cadre en bois. Constitué de deux rouleaux de chaque côté, les bourreaux les faisaient tourner dans des directions opposées dans l'unique but d'étirer très lentement le corps du torturé. En général, d'autres prisonniers étaient obligés de regarder le supplice avant qu'ils n'y passent eux-même, histoire de les choquer psychologiquement. Il existe aussi une variante de cet instrument de torture avec des clous plantés sur la planche, histoire que la victime s'allonge dessus pour assurer davantage de blessures et d'horreur !
L'aigle de sang
Voici une pratique de torture qui nous vient tout droit des anciens guerriers nordiques. L'aigle de sang (ou blóðörn en vieux norrois) est un supplice qui mélange à la fois brutalité et poésie propre aux Vikings ... En effet cela consistait soit à tailler un aigle sur le dos de la victime soit à trancher ses côtes tout le long de la colonne vertébrales, à les déployer vers l'extérieur comme les ailes d'un aigle et enfin à extraire les poumons de la poitrine. On ne compte que quatre victimes de l'aigle de sang, toutes issues de la littérature scandinave : deux personnages historiques, le roi de Northumbrie Ella et l'un des fils du roi de Norvège Haraldr hárfagri, jugés tous deux pour parricide ainsi que deux personnages légendaires.
Le supplice de la cale
Continuons avec une forme de châtiment corporel utilisé dans les marines militaires jusqu'au début du XIXème siècle. On disait "donner la cale" pour punir l'incitation à la désobéissance. Une pratique spectaculaire pour montrer l'exemple à l'équipage dont une grande partie participait à ce supplice. Il existe plusieurs types de cales. La première, la cale ordinaire où la victime est attachée à une corde puis hissée en haut de la vergue du grand mât par l'équipage. Au commandement, la victime est lâchée et peut rester un certain temps sous l'eau. L'opération peut être répétée plusieurs fois. Même si le condamné a des chances de survie, la plupart du temps il meurt assommé ou noyé. Vient ensuite la cale sèche, basée sur le même principe sauf que la chute de la victime est stoppée nette avant de toucher l'eau. Elle a alors les bras désarticulés ou arrachés et est abandonnée en pleine mer. Enfin, la grande cale où le condamné est ligoté à un cordage qui passe d'un bord à l'autre sous la coque du navire. Les membres de l'équipage tirent le cordage pour le tirer de l'autre côté en le faisant passer sous la quille. Ces techniques étaient employées par les Hollandais et les Français depuis le XVIème jusqu'à son abolition en 1853 mais on retrouve des témoignages de son utilisation par les Grecs en 800 avant J.C pour l'infliger aux pirates qui infestaient la mer Égée.
Le séparateur de genoux
Voici un outil très populaire au cours de l'Inquisition. Son nom parle de lui-même : écraser les genoux des victimes pour les rendre handicapées. Le principe est ultra simple : on place le genoux entre les deux parties en bois équipés de clous. Ensuite, on actionne les deux vis pour refermer les deux blocs de bois. Bien entendu, on pouvait également utiliser cet instrument pour d'autres membres, comme les bras par exemple !
La bougie romaine
Le feu est un des moyens de torture favoris des bourreaux. Mais la bougie romaine est certainement une des pratiques la plus cruelle jamais inventée. Imaginée par l'empereur Néron dont sa réputation en terme de folie n'est plus à faire, la bougie romaine consiste à attacher la victime à un pieu et de l'enduire d'un produit inflammable comme de la résine d'arbre ou de plante. Puis, elle est brûlée lentement suivant le même principe qu'une bougie, d'où le nom ... C'est bien trouvé ! A en croire certains documents historiques, Néron aurait fait exécuter plusieurs victimes de la sorte pour lui permettre d'éclairer les banquets qu'il organisait au cours de fêtes privées ...
Le découpage
C'est certainement l'une des plus violentes et plus barbares des tortures jamais inventées. C'est au XIIème siècle en Angleterre qu'on voit cette technique d’exécution réalisée pour la première fois. Réservé aux traîtres à la nation, le découpage était très souvent utilisé jusqu'au XVIIIème siècle pour marquer le coup et surtout, marquer les esprits. On accrochait alors la victime à une planche de bois puis un cheval la traînait jusqu'au lieu de l'exécution à l'aide d'une corde passée autour de son cou. En général, la victime mourrait d'une entaille à la carotide avant d'arriver à destination. Pour les plus malchanceux, ils se faisaient étrangler par un bourreau qui faisait très attention à ce que cela soit le plus douloureux possible et en s'assurant de ne pas tuer la personne. L'étape suivante consistait à étriper la victime. On retirait alors l'estomac, les intestins et d'autres organes du corps. Les organes génitaux n'étaient pas épargnés, puisque le bourreau les mutilait et les déchirait pendant de très longues minutes ! Si la victime était encore vivante, elle avait la chance de voir ses organes brûler devant ses yeux puis se faisait décapiter. Une fois morte, la victime était découpée en quatre morceaux pour les envoyer faire le tour du pays afin de dissuader les éventuelles personnes envieuses de trahir le royaume. Quant à la tête, elle était empalée sur une pique placée en haut des murs de la Tour de Londres.
La poire du Pape
La poire du Pape ou la poire d'angoisse était un instrument de torture très prisé au Moyen-Âge pendant l'Inquisition espagnole. On pouvait utiliser cette poire de différentes façons. Soit en l'introduisant dans la bouche, le rectum ou le vagin de la victime. Ensuite, un système de vis permettait de l'élargir jusqu'à l'ouverture maximale des segments parfois munis de piques. On vous laisse imaginer l'état dans lequel se retrouvait l'intérieur de la cavité ! La poire était utilisée par voie anale pour punir les homosexuels et les femmes jugées d'avoir couché avec le Diable tandis que les menteurs et blasphémateurs faisaient connaissance avec cet outil de façon orale qui finissait par faire exploser le crâne de la victime.
Le bambou
Le bambou est une plante très souvent utilisée pour construire des habitations en Chine ou au Japon mais aussi pour la construction de clôtures, de mâts de bateaux ou encore pour être transformé en papier de haute qualité ou tout simplement consommé comme aliment. Bref, le bambou est un végétal polyvalent. Mais saviez-vous qu'il était aussi utilisé pour la torture ? En effet, cette plante peut grandir de 90 centimètres en seulement 24 heures. C'est celle qui grandit le plus vite au monde. Alors, avec cette particularité, ça a donné des idées à certains. Pour la torture, on place la victime sur une chaise ou sur un filet au dessus d'une jeune pousse de bambou. Pas besoin de vous faire un dessin : très rigide, la plante va alors transpercer la peau et la victime va se vider de son sang petit à petit dans une souffrance extrême. Il est devenu malgré lui le témoin d'actes abominables dans certains pays d'Extrême-orient. Initialement, cette technique a vu le jour au XIXème siècle et a très souvent été utilisée en Thaïlande et au Sri Lanka. A en croire certaines rumeurs, il se peut que ce genre de pratique ait été utilisée au cours de la Seconde Guerre Mondiale par les Japonais sur des prisonniers de guerre américains.
La scie
Attention, pratique de torture sanglante ! En effet, ici, on place la victime en la suspendant la tête vers le bas. Les bourreaux commençaient ensuite à scier ses chairs en débutant par l'entrejambe et ne s'arrêtaient que jusqu'à ce que le condamné soit coupé en deux parties. En revanche, le torturé était parfois scié jusqu'à l'abdomen puis laissé la tête en bas pour le maintenir conscient pour qu'il agonise jusqu'à ce que mort s'en suive.
Le dépeçage
Certainement l'une des méthodes de torture les plus anciennes : le dépeçage ! Cette pratique remonte à l'empire néo-assyrien vers 911 avant J.C. Très vite, elle est apparue dans différentes civilisations, notamment en Europe au Moyen-Âge pour punir les traîtres ou au Mexique chez les Aztèques pour des rituels et autres sacrifices humains. Le principe est assez simple : retirer le plus lentement possible la peau de la victime en la gardant consciente et si possible, en conservant la peau intacte. D'après des sculptures de la période assyrienne, on commençait par retirer la peau en faisant des incisions au niveau des cuisses ou des fesses alors qu'en Europe, on débutait par les pieds et les jambes. En revanche, les empereurs chinois Sun Hao, Fu Sheng et Gao Heng avaient ordonné de commencer le dépeçage par le visage ... Le plus souvent, la victime mourrait à la suite d'une perte de sang importante. Dans certains cas, des "écorcheurs professionnels" réussissaient à maintenir en vie la personne pendant plusieurs jours qui finalement mourrait dans une agonie très lente.
Sinon, faute de frappe au dernier paragraphe ligne 5 en gras : "en gardant la gardant"
une bonne vieille tradition judo & cretine,,,, hein ?
En vente pour des adeptes de sadomasochiste.
Un moyen de réduire quelqu'un au silence, donc, mais sans mutilation réelle.
Je vous laisse chercher, bonap'
http://hitek.fr/actualite/…
Amusant, celui ci est dans "Histoire" , l'autre est dans "Culture" !
L'obsidienne, ça coupe bien, mais ça manque une peu de précision.
Mais les espagnols ont jeté toutes ces vieilles croyances au feu…
Cela dit, sur les dessins, tout le monde a l'air de s'emmquiquiner et d'attendre calmement que ça se termine. Y compris le torturé…
Ça me rappelle les manequins de cire, fabriqués pour économiser les cadavres pour enseigner l'anatomie au XVIème siècle, qu'on a retrouvé dans une école de médecine en Italie : la nana qui a l'air de parler de la pluie et du beau temps avec une copine, sauf qu'elle a le ventre ouvert et l'utérus aussi.
En France, tant que la veuve a bascule a donné ses représentations en public, des gens sont venus en famille "pour voir ça". Faut dire, c'était bien avant you porn (et même avant Guy Lux et Jean Nohain !)
Hors, une bonne partie des 11 prétendu moyens de tortures sont des méthodes d’exécution.....
A quoi bon parler pour balancer les infos, si tu es en train de te faire découper en 2 a la scie?
M'enfin, faut pas trop vous en demander....
Mais il manque Vlad l'Empaleur.