Des scientifiques conçoivent par hasard une enzyme dévoreuse de plastique !
Une équipe de chercheurs américains et britanniques est parvenue à créer, totalement par hasard, une enzyme capable de détruire le plastique en le dévorant. Une invention qui pourrait bien aider à résoudre en partie le problème de la pollution.
En effet, les enzymes sont des protéines qui servent de catalyseur dans des réactions chimiques. Cela signifie qu'elles accélèrent le processus chimique d'une réaction en milliseconde alors qu'en leur absence, cela pourrait prendre des millions d'années.
Le pollution plastique, un enjeu pour le futur
Ce qui est intéressant avec les enzymes c'est qu'elles pourraient jouer un rôle important dans l'arrêt de la prolifération de la pollution par le plastique à l'échelle mondiale. Effectivement, le plastique est un fléau universel qui pollue les mers et la terre. Tous les ans, ce sont plus de huit millions de tonnes de déchets qui terminent dans les océans et qui peuvent créer des continents toxiques. Résoudre la question de la pollution par le plastique est un enjeu primordial pour nos générations futures.
Mais c'est une question épineuse ! En effet, pas évident de trouver la solution pour se débarrasser de ces déchets plastiques. Car en le brûlant, ce dérivé du pétrole dégage des gaz toxiques qui sont eux aussi polluants. Et il n'existe pas encore de solution miracle pour le détruire totalement. Le recyclage n'est pas encore au point et représente un coût important. De plus, en bout de chaîne, le problème resterait le même : comment le faire de nouveau disparaître ? C'est donc en se penchant sur cette question que des scientifiques ont imaginé un moyen par le biais des enzymes pour nous aider à le supprimer. Pour cela, ils se sont concentrés sur une enzyme découverte au Japon, la bactérie Ideonella sakaiensis.
Une découverte totalement par hasard
Celle-ci se nourrit strictement d'un seul type de plastique : le polytéréphtalate d'éthylène que l'on retrouve dans la composition de nombreuses bouteilles. Les chercheurs ont donc tenté de découvrir les secrets de cette bactérie en scrutant de très près l'une de ses enzymes, la PETas. Cette dernière est issue d'une évolution naturelle au sein d'une décharge japonaise découverte en 2016.
Dans leur étude publiée ce lundi, les scientifiques expliquent avoir créé "par accident une enzyme qui est encore plus efficace pour désagréger les plastiques PET".
A la suite des différentes expériences l'enzyme a muté et est devenue plus vorace que l'enzyme naturelle. Désormais, les scientifiques concentrent toute leur attention à l'amélioration des performances de celle-ci afin de pouvoir en faire une utilisation à l'échelle industrielle pour la destruction des plastiques. En revanche, à l'heure actuelle, il est important de souligner que cette découverte reste modeste et que les progrès à faire son encore énormes afin de parvenir à une solution de recyclage efficace pour faire disparaître totalement ces déchets plastiques de la surface de notre planète.
Ca devrait notre priorité mais non, c'est par hasard... heureusement que ce dernier fait bien les choses.
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LA VRAIE S0LUTI0N A DÉJÀ ÉTÉ BREVETÉE EN MAi 2o17 :
L’innovation révolutionnaire du professeur Bouhlal consiste à développer un procédé de régénération des plastiques....
Ce procédé innovant permet de développer un mécanisme réactionnel, l’addition d’agents chimique pour revenir au produit initial qui peut être utilisé pour la production du même type de polymère ou la fabrication des autres polymère...
Cette découverte permet de proposer des solutions pour l’exploitation de 95% milliards de tonnes de déchets de plastique.
Il s’appelle Saïd Bouhlal .... ET IL VIENT DE SAUVER LE M0NDE !!
Elle pourrait muter et devenir vorace envers des formes de vie.
Mieux vaut prendre son temps.
Une nouvelle plus inquiétante que rassurante, quand on sait qu'on retrouve déjà ses micro-plastique dans la faune, notre alimentation, les nouveaux nés ...
Sinon c'est une bonne nouvelle pour la planète ^^